[DEBAT] - Topic des Ecrivains

Rappel du premier message :

EDIT : Pour lire le topic du début sans le flood de certains abrutis, allez directement ici

Voilà j'ouvre ce topic avec la décision de Baal, Sakapatate et Mista CJ, pour tout els gens qui écirvent poèmes, textes de chansons, et lyrics... Venez ici faire paratager vos oeuvres sans prétention que de partager ensemble nos oeuvres. AÉtention topic réserver à ceux qui ont vraiment fait de leur vocation d'écrire des textes. Ne pas poster des trucs de débutants écris avec quatre mots de dictionaire merci.

Cte geni, je vois toujours pas le coté écriture du truc.

Manta : pas mal, même s'il reste encore des trucs à améliorer. Mais tu as de l'imagination.

Mais si c'est une fic, je te conseille plutot de créer un topic entier pour la publier, car c'est pas vraiment le sujet.

Par contre, inclure son personnage dans la fic, ça sent la fic Self insert GarySue...

Baal a écrit:Cte geni, je vois toujours pas le coté écriture du truc.

Manta : pas mal, même s'il reste encore des trucs à améliorer. Mais tu as de l'imagination.

Mais si c'est une fic, je te conseille plutot de créer un topic entier pour la publier, car c'est pas vraiment le sujet.

Par contre, inclure son personnage dans la fic, ça sent la fic Self insert GarySue...

a vrai dire, jai de limagination sauf pour les pseudos ou les noms... manta c'est le noms qui me vient en premier..; thomas c'est moi, steph unecopine qui s'est connecté sur msn au moment ou je cherchais, cd'ryk un pote sur ogame qui s'appelle cedric, et le reste c'est des truc que jvois a la télé ou que je lis...

Oki, bah c'est pas si grave, je pensais que t'allais taper une SI avec "super manta le sauveur de l'univers".

Moi j'aime bien chercher des origines éthymologiques à mes persos des fics pour les noms ^^

Sinon pour continuer le topic, Masta, ton duo est assez marrant, quoique deux styles ça diffèrent sur quelques trucs pas toujours homogènes, mais la fin tue tout.

Et pour upper un peu aussi :

Unforgivable

Once again, I see the wall
I try to hear the call
Once again, It’s so sore
Who wants to open the door ?

In our city of victory
Where we don’t know reality
We don’t see out of there
What the world doesn’t care

We don’t want to know
So nobody wants to show
Everybody wants to throw
This objection
These wrong informations
Nobody wants to be guilty
And to confess all the misery
It’s not unbelievable
We are unforgivable

It’s time to break the wall
To help the people soul
We lived on the system
Now we have to leave this brain

It’s time to discover
What’s the matter
Disconnect the cable
It’s not unforeseeable
We are unforgivable

We don’t want to know
So nobody wants to show
Everybody wants to throw
This objection
These wrong informations
Nobody wants to be guilty
And to confess all the misery
It’s not unbelievable
We are unforgivable

It’s not unbelievable
We are unforgivable

J'ai pas encore lu vos oeuvres, Baal et Manta, mais je uppe le topic un premier temps pour marquer mon retour.... Je dans la nuit, ou alors demain, je vous donnerai mon avis sur vos textes sur ce post même... Surtout pour le texte de manta que je me réjouis de lire (etant un peu écrivain amateur moi meme )

Baal a écrit:Mais si c'est une fic, je te conseille plutot de créer un topic entier pour la publier, car c'est pas vraiment le sujet.

Par contre pas d'accord... ce topic est le topic des "écrivains" et pas seulement des poètes... j'ai moi-même songé plusieurs fois à poster des romans mais ce qui m'en a empêché était la longueur que ferait le post... je fais pas trop dans le court....

Mais a mon avis il peut poster ce genre de textes ici, non ? enfin... c'est pas moi le modo au final... et les topics ça mange pas de pain...

Ca me dérange pas, tu as raison, mais ce qui gène, c'est la taille de la fic :

une fic oneshot pas trop longue ça peut aller, mais une fic s'étendant sur vingt chapitres, pour les lire entrecoupés de nos posts et avec 38 pages au topic, ça va légèrement foutre le dawa je dirais...

C'est exactement la raison pour laquelle j'ai pas posté la mienne sur ce topic... j'ouvrirai un topic fanfic si Manta veut bien poster les chapitres suivants de sa fic (que j'ai pas encore lue... mais je pense que je lirai plutot ce weekend quand j'aurai du temps devant moi... cette semaine c'est de la folie...)

Sour satisfaction

The hair are growing
Longer, longer
The head, ugly head
Hunt the snipers
No more run, no more
Shout the blind spy

Lose the vision, lose the fiction
Stay in your brain's actions
Lose the vision, lose the fiction
Sour satisfaction

Aphasic poems
Swim on the walls
in a tired talk
Magnificent
Dressed in a liar mask
Powder of wind


Need some oxygen
To burn the breathe
Slipping on the floor
Of the living skulls
Dying man's souls
Just for one exit

Lose the vision, lose the fiction
Stay in your brain's actions
Lose the vision, lose the fiction
Sour satisfaction

Shining waterfalls
Agony's song
Sitting on a chair
Threw in a hole
Mechanical tool
Dream of sickness

Lose the vision, lose the fiction
Stay in your brain's actions
Lose the vision, lose the fiction
Sour satisfaction

Nice, very nice dude!
Ca donne vraiment bien, très rythmé.

Je re-ouvre et me lance un peu...quand le besoin se présente, tend lui la feuille...

Sur le tas :

Amertume liée à l'ingratitude,
Dans une sombre habitude je me noie,
Tombe vers le bas,
Où de ça et là on laisse éclaté sa joie.

..................................NO COMMENT....................................

C'est bien de relancer LS, ce topic est intéressant...

Et ton petit poème, court mais intense.

Merci mOn SushI!

Un jour, on nous a fait croire des choses, on nous a grossièrement bluffé. Un jour, on s'est senti trahi par notre ami, nos proches, notre entourage, le monde entier. Un jour, on y a cru dur comme fer, puis aujourd'hui, on devient las.

C'étaient nos rêves d'enfants, nous étions remplis d'espoir. L'un voulait devenir pompier, l'autre voulait une grande maison et un beau mariage à l'église, et le mari qui va avec. Les adultes étaient complices, et faisaient briller le miroir aux alouettes. Les histoires qu'on nous racontait finissaient toujours bien. Les premiers défenseurs du rêve américain, c'étaient en fait ce qu'on appelle ironiquement nos "chères" têtes blondes trop crédules, nous en quelque sorte.

Nous étions embrigadés, enrôlés par les stéréotypes d'une vie heureuse. Pourquoi nous faire subir l'expérience douloureuse qui nous rendra aigris et désabusés ? Pourquoi n'avons nous pas été préparés à ça ? Personne n'a parlé de ça dans les contes de fées de notre enfance.

Le loup est le perdant, la sorcière meurt, les méchants échouent parce qu'ils sont méchants, et bien sûr la ritournelle "... se marièrent et eurent beaucoup d'enfants" est de mise. Pourquoi les parents ont-ils menti aux enfants ? L'apprentissage de la vie n'a pas besoin de paillettes ni de fausses promesses. En réalité, nous sommes tour à tour tombés sous le joug de la frustration et nous perpétuons la tradition cruelle. Nous étions victimes, et nous serons bourreaux, fatidiquement. Ce cercle vicieux, nous le prendrons inévitablement si nous voulons être de "bons parents".

"Ayant été nous-mêmes bafoués par la vie qui n'est pas si rose, nous voulons légitimement le meilleur pour nos enfants qui auront sûrement plus de chance que nous."

Nous nous projetons dans nos enfants. Nous utilisons des raccourcis qui nous permettrons de prendre notre revanche sur le destin. La belle affaire. Sous le coup d'une crédulité atavique bien que maintes fois contredite, les parents voient leur salut dans leur progéniture et l'éduque ainsi en conséquence. La tâche est d'autant plus facile qu'elle a tout à apprendre d’eux. Et les adultes considèrent ainsi les enfants comme des personnes dépendantes, de moindre importance, idiotes parfois. Les qualificatifs ne manquent pas : enfantillages, gamineries, choses infantiles.

Par la certitude du happy end, nous reproduirons encore et toujours les mêmes erreurs, prêts à rajouter ruses et artifices dans le simple acte d'être tous les soirs à leur chevet, à leur raconter des histoires pour qu'ils s'endorment. C'est ça, qu'ils "s'endorment". L'issue se trouve peut-être dans la relation même que nous entretenons avec nos enfants, à savoir qu'il ne faut pas les prendre pour des cons.

Ca y est je ne crois plus en rien, c’est officiel…

« En l’amour » me diriez-vous ? Oui certes, sinon je ne ferai pas le métier que je fais. L’amour est un excellent moteur pour travailler l’espoir…

Mais, mais, mais…pour l’amour il faut être deux, et vous avez beau croire en l’amour, si la personne en face de vous n’y croit pas, vous pouvez rien pour elle.

L’amour est en chacun d'entres nous, mais chacun n’en veut pas forcément, ou plutôt est dans l'incapacité d'en recevoir et d'en donner en retour.

A partir de là qu’est ce qu’il nous reste ?

Il ne reste que le vent dans les brèches,
Le temps qui s’infiltre et se dissous aussitôt,
Il ne nous reste que l’ombre d’espérer toujours.

"La vie sans toi c'est comme un poème sans mot.. ça ne rime à rien !"
Unkn0wN, jeudi 17 novembre 2006, 20:47

J'trouve que ça vaut le coup juste pour le jeu de mot ;D

Ce qui nous tue à petit feu
lentement, doucement mais surement

la négation de nos idéaux

on dirait qu'on a plus le temps à rien

un jour on sera tous frères.

J'adore !!! Chacun pour soi, dans son délire !

LS, ma prose suivait la tienne...

Réfléchis y

"l'enfer c'est d'avoir perdu l'espoir."

Bien vu l'aveugle !

L'aveugle ?

Hop : début de chanson folk pas finie :

C'est au bout de la bière qu'on leur raconte des histoires
Qu'on les plume de leur oseille pour finir sur un trottoir
Mais moi c'est pas pareil j'viens de là où il fait noir
D'un endroit où même pour elle le trottoir c'est bien trop tard
C'est un p'tit endroit du monde où les filles sont si jolies
Un endroit où la bière blonde peut couler à la folie
Mais bon...

C'est au bout de la bière qu'on héberge des voleurs,
Des comédiens ratés, des reubeus des emmerdeurs
C'est l'Chatillon du Monde, nous on fait de la musique
Et tout en fumant des blondes on succombe à la panique
Car on est pas encore mort, et on a droit à la vie
Et dans un nouveau décor on pourrait vivre une folie
Mais bon...

C'est au bout de la bière qu'on se perd dans les regards
De ces jolies demoiselles au passé un peu trop noir
Elle nous prennent par la main et nous mènent à notre lit
Et tout en roulant dans le foin on leur crie à la folie
Qu'on est amoureux d'elles, ces filles si jolies
Si jolies qu'on en crève pour une histoire de paradis
Mais bon...


Voila voila, peut être un jour...


Je fais de l'air guitar sur fuck the world ou get free.

J'aime sourire de façon idiote.

J'aime hurler et dire un ramassis de conneries pour éviter de me faire chier (genre parler à la douche le matin, ou répondre à la présentratrice du JT).

J'aime aussi accessoirement remonter de vieux topics quand la question soulevée y est intéressante, au risque de m'attirer les foudres d'un modo sur les forums ou je suis.

L'herbe m'endort, l'alcool m'excite et la musique me met en transe. Donc dans ces pseudos soirées "ouais trop cool on finit tous éclatés sur des canapés car trop déchirés quoi" je me fais vite chier.

Ah et sinon j'aime peu de gens de mon age, va savoir pourquoi. Ou plutôt, j'ai du mal à délirer avec eux ou a parler de trucs intéressants. C'est chiant d'ailleurs car l'ambiance de la fac est d'une platitude suicidaire. Pour quelqu'un qui avait envie de changer d'air en sortant du lycée, grosse déception, ça motive pas pour continuer 5 ans...

Mon film préféré s'appelle Las Vegas Parano

Les gens de ma fac doivent avoir peur car depuis une semaine je chante 1969 en boucle à tue tête dans les couloirs.

J'aime pas les vêtements trop cleans, voire j'adore les rapiécés. Ca énerve ma mère d'ailleurs.


J'aime aussi parler à mon chat d'ailleurs, c'est un peu plus humain qu'un mur car ça vous regarde d'un air con sans comprendre quand vous vous adressez à lui.

Je déteste qu'on range ma chambre, le bordel qui y règne est la seule chose qui me rassure.

Je passe beaucoup de temps enfermé dans les chiottes, ce que je revendique depuis que je sais que Rimbaud y a écrit ses plus belles œuvres.

J'aime pas les baskets blanches, j'en achète plus, et quand j'en avais je me marchais sur les pieds pour les salir.

On me dire un truc 50 fois, je m'en rappellerai toujours pas. Une chose insignifiante me reste en tête éternellement.

Je me parle dans la tête tout seul sans me rendre compte qu'autour de moi il se passe quelque chose.

Quand je suis sur msn je clic systématiquement sur les nouveaux arrivants pour avoir vu leurs avatars.

J'ai plus tendance à envoyer directement chier les gens qui me gonflent, pas tout le monde, mais ça revient au même, on me traite de mauvais caractère et d'asocial. J'ai jamais compris en quoi parlementer hypocritement en faisant des phrases détournées pendant 10 minutes ça aidait à résoudre le problème d'une personne en conflit avec soi. Jveux bien débattre sur un sujet. Mais quand on me casse les couilles pour pas grand chose, je vois pas pourquoi je devrais m'abstenir d'envoyer chier la personne en question.

J'aime bien dessiner des trucs étranges, et lire des bouquins de drogués (nouvelles sous ectasy, Las vegas parano...), c'est souvent plus marrant que d'essayer soi même le truc.

Cette année je suis partie sept fois en cours sans mon sac.


I'm outta love, set me free.

Dites à quelqu'un qu'il y a 300 Milliards d'étoiles dans l'univers et il vous croira.

Dites lui que la peinture n'est pas sèche et il aura besoin de toucher le mur pour en être sûr...

La "normalité" n'existe pas dans ce monde, il existe seulement le degré de folie.




J'ai peur du ridicule.

J'ai exagérément conscience de la sincérité de mon esprit.

J'aime faire l'amour avec des filles.

J'aime mes parents tout en m'opposant à tout ce qu'ils défendent.

Je ne comprends pas le sens de la religion pour les autres.
La musique affecte mes émotions.

Punk-rock = liberté.

J'emprunte des petits bouts de la personnalité des autres pour constituer la mienne.

Tu connais la psychiatrie? ..................................
..............
.........
....
..
.



Je décOnne --------------------->

La raison n'existe pas en ce monde, seulement le degré de folie

C'est donc pour ca que j'y fais allusion!

mais bon c'est un mauvaise association d'idées de fatigué de la semaine. ^^

On a tous rêvé de toucher l’horizon
On a tous aimé la plus conne des plus cons
On a tous dansé sur de l’accordéon
On a tous pleuré sur les mêmes chansons
On a tous salué ce drapeau de faux cul
On a tous milité en petit trou du cul
On a tous craché pour le plaisir de l’acte
On a tous chanté « le peuple dans la rue »
On est tous des frères
Tous le même destin
On est tous des frères
On crèvera tous demain
On est tous des frères
A Londres ou à Berlin
On est tous des frères
Quand on est orphelin
On a tous rêvé d’une terre sans pays
On a tous gueulé au nom des incompris
On a tous dansé sur des chansons de vieux
On a tous marché pour du vent ou des dieux
On a tous pleuré dans les yeux d’une blonde
On a tous gueulé qu’on changeait le monde
On a tous chanté autour du même feu : « On est tous des frères »

(Damien Saez)

Il s'enterre ce topic...

I don’t care

I like to see the shadows in your eyes
I like to see the battle in your mind
I just wanna say that you won’t be afraid
I’m rolling down thru this event again

Yeah
I like to hear you when you say it
Yeah
And I don’t care if you’re losing it
Yeah
I don't care what it means, got no answer
Yeah
Just wanna find how I could love her

How I could could love her
How I could could love her
How I could could love her

And I don’t care about you matter
It’s not my opinion which is gonna save you
My only aim’s run in fact I wanna find her
Leave me away I'm not staying for you

Yeah
I like to hear you when you say it
Yeah
And I don’t care if you’re losing it
Yeah
I don't care what it means, got no answer
Yeah
I just wanna find how I could love her

How I could could love her
How I could could love her
How I could could love her


And I don’t care about your matter
Cuz I’m not living for you my dear

And I don’t care about you matter
It’s not my opinion which is gonna save you
My only aim’s run in fact I wanna find her
Leave me away : I’m not staying for you

Yeah yeah

Yeah
I like to hear you when you say it
Yeah
And I don’t care if you’re losing it
Yeah
I don't care what it means, got no answer
Yeah
I just wanna find how I could love her

How I could love her

Yeah

How I could love her

30.11.05

C'est une compo de mon groupe à la base, donc en texte, j'imagine que les yeah rendent pas génial :p

T'sais moi et l'Anglais...à la limite y'a que les "yeah" que je comprend ! ^^

Oué j'comprend la moitié du texte lol, alors j'peux pas trop commenter

Baal a écrit:Il s'enterre ce topic...

I don’t care

I like to see the shadows in your eyes
I like to see the battle in your mind
I just wanna say that you won’t be afraid
I’m rolling down thru this event again

Yeah
I like to hear you when you say it
Yeah
And I don’t care if you’re losing it
Yeah
I don't care what it means, got no answer
Yeah
Just wanna find how I could love her

How I could could love her
How I could could love her
How I could could love her

And I don’t care about you matter
It’s not my opinion which is gonna save you
My only aim’s run in fact I wanna find her
Leave me away I'm not staying for you

Yeah
I like to hear you when you say it
Yeah
And I don’t care if you’re losing it
Yeah
I don't care what it means, got no answer
Yeah
I just wanna find how I could love her

How I could could love her
How I could could love her
How I could could love her


And I don’t care about your matter
Cuz I’m not living for you my dear

And I don’t care about you matter
It’s not my opinion which is gonna save you
My only aim’s run in fact I wanna find her
Leave me away : I’m not staying for you

Yeah yeah

Yeah
I like to hear you when you say it
Yeah
And I don’t care if you’re losing it
Yeah
I don't care what it means, got no answer
Yeah
I just wanna find how I could love her

How I could love her

Yeah

How I could love her

30.11.05

C'est une compo de mon groupe à la base, donc en texte, j'imagine que les yeah rendent pas génial :p

Ah, faut tout vous expliquer les empaffés
Le titre c'est "je m'en fous"

j'aime voir les ombres dans tes yeux
j'aime voir la bataille dans ton esprit
je veux juste dire que tu n'auras pas peur
je fonce à travers ce moment à nouveau

Yeah
j'aime l'entendre quand c'est toi qui le dis
Yeah
et j'en ai rien à foutre si tu le perds
Yeah
je me fous de ce que ça signifie, j'ai pas de réponse
Yeah
je veux juste trouver un moyen de l'aimer

un moyen de l'aimer

et je me fous de ton problème
c'est pas mon avis qui va t'aider
mon seul but est de courir, en fait je veux la trouver
lâche moi, je suis pas là pour toi

Yeah
j'aime l'entendre quand c'est toi qui le dis
Yeah
et j'en ai rien à foutre si tu le perds
Yeah
je me fous de ce que ça signifie, j'ai pas de réponse
Yeah
je veux juste trouver un moyen de l'aimer

un moyen de l'aimer


et je me fous de ton problème
je vis pas pour toi, chérie

et je me fous de ton problème
c'est pas mon avis qui va t'aider
mon seul but est de courir, en fait je veux la trouver
lâche moi, je suis pas là pour toi

Yeah yeah
Yeah
j'aime l'entendre quand c'est toi qui le dis
Yeah
et j'en ai rien à foutre si tu le perds
Yeah
je me fous de ce que ça signifie, j'ai pas de réponse
Yeah
je veux juste trouver un moyen de l'aimer
un moyen de l'aimer

Yeah

un moyen de l'aimer

Ah ok ! ^^ Good job my friend ! uuuuuhhhh

Sushi poète... on aura tout vu!
C'est ta rupture avec Mehdb qui t'a inspiré ce superb texte?

@+

Non, ça fait un petit moment que je n'ai pas eu de nouvelles de lui.

Non je me suis fait brusquement lourder par ma copine après 10 mois et j'ai pas trop le moral...

L'anaphore du verbe avoir à la premiere personne structure admirablement le texte, GG !

J'aime bien la chute, avec la dernière strophe réutilisée.

Pour un premier essai, tu te démerdes bien.

Même si quand on se relit sur les ruptures, on se dit "putain j'ai écrit un truc aussi con moi ?!"

Mais j'aime bien la chute je dois dire.

T'es pas le seul à broyer du noir ce soir.

Damien Saez a écrit:
rien ne sert de courir mon amour tu sais
ils nous rattraperont
pas la place pour s'aimer
puisqu'elle est condamnée notre génération
rien ne sert de rêver mon amour tu sais
on est plus des enfants
puisque ici bas ne tombe de ce ciel sans merci
que des larmes de sang

rien ne sert de courir mon amour tu sais
ils ne comprendraient pas
que nous avons trouvé à la force d'aimer
dans nos cœurs un espoir
rien ne sert de pleurer tu sais bien mon amour
que nos larmes sont vaines
et que la seul chose qui fait battre leur cœur
c'est l'argent et la haine

nowhere to run
nowhere to hide
in this world
no dream to have anymore
in this world
no reason to stay that we can believe in
no place for us
no place for us

c'est la fin des poèmes
c'est la fin de nos vies
mon amour tu le sais
c'est la fin des souffrances
c'est enfin le début de la liberté

mieux vaut tracer la route
traversée la lumière vers l'étoile perdue
que de vivre à moitié
que de collaborer à dans leur monde vendu

nowhere to run
nowhere to hide
in this world
no dream to have anymore
in this world
no reason to stay that we can believe in
no place for us
no place for us

mais qu'est ce qu'on attend pour fuir
mais qu'est ce qu'on attend pour fuir

Damien Saez c'est une transcendance à chaque écoute, tant par rapport au fond qu'à la forme !

Et bien pour tous ceux qui broient du noir AMEN !
Vive les fêtes de Noël et les cadeaux de lourdage à la fin de l'année ( putain quoi!?! ceux sont donnés le mot tous!?! ...)
je crois que je vais battre le record : 6 ans de relation....uuuuuuuuhhhhhhhhh
En fumée !.........

Pas de poême pour moi, là desuite, c'est plutot de la merde en barre que j'ai envie de sortir donc je vais m'abstenir pour quelques oreilles chastes...

Ouai faut croire que c'est la saison qui veut ça... boh faut que moli se ramène j'ai pu bien rigoler avec elle hier...

Trois potes largués vendredi par leurs trois copines. Et c'est pas un coup préparé.

Trop bien l'ambiance des fêtes de fin d'année...

Ouais c'est de la folie en ce moment... chouettes cadeaux, j'vous dis pas...

kL(o)nE

Only a clone loaded in my mind
When I felt alone a lost and dirty night
You’re only a clone, I know you into me
A dark picture of my being
But all you’ve said is gone

Get back and crawl
I don’t want to hear you again
Own master of my soul
Mind is mine, so try to blame

One day I’ll see how I can blow you away
Disappear far and free, liberating my own may
You’re only a clone, I know you into me
A dark face of my being
But all you’ve said is gone

Get back and crawl
I don’t want to hear you again
Own master of my soul
Mind is mine, so try to blame

Get back and crawl
I don’t want to hear you again

Salut tout le monde, c'est Akha ^^ bon ba je suis plus venu depuis plusieurs mois parce que j'ai plus eu internet et qu'après j'ai trouvé ça chaud de se remettre dans l'bain d'un forum qui a avancé sans moi pendant tout ce temps. je suis pas tout mais bon ce topic est un peu délaissé donc j'vais juste proposer un truc que j'ai écrit depuis (et plus si affinité...) bon sinon j'espère que tout l'monde va bien et big up spécial à Baal et Mista CJ
_________________________

LE BASANE

Ca fait des années et des années que je traîne ma satanée
Carcasse basanée qui entraîne des cascades de sarcasmes
Quelle tannée! j'utilise encore ce vieux sloggan surannée
Dont le visage est lui aussi buriné par les années
Mais un jour j'vais caner, ça s'ra la fin du vol plané
L'aterrissage, parce que vivre est un art perrissable
Simultanément saisissable et insaisissable
Mais chérissable car j'en aurais chialé si j'étais pas né!

Parce que je reste le Basané, celui que tout l'monde dévisage
Et on a tendance a trop m'assaisoner à des milliers de paysage
Les gens parle plus qu'il ne pense, ce qui réduit mes chances
De tenir ma satanée cadence jusqu'au moment de l'échéance

Je n'ai jamais été charmé par les armes et l'armée
Les chars, les larmes des gens qui chialent et les charniers
Ni même par faire sauter des charges, j'aimerais télécharger
Tous ces barges et la bassesse humaine dans une décharge;
Et je déchante, j'entame une large descente quand j'y pense
Comme si on me lâchait du haut de l'Arche de la Défense
Mais les chances de réussite de leur politique Caterpillar
Me donne des barres de rire à m'en rouler terre-par hilare!

Parce que je reste le Basané, celui que tout l'monde dévisage
Et on a tendance a trop m'assaisoner à des milliers de paysage
Les gens parle plus qu'il ne pense, ce qui réduit mes chances
De tenir ma satanée cadence jusqu'au moment de l'échéance

Je ramasse une masse tenace qui me glace
Et menace telle une garce la place de ma face
Une crevace où s'entasse les masques du gars qui m'agace
Une sale race mal dans ses godasses et qui manque d'audaces
Mais si vivace que quand je la chasse en fermant le sas
C'est comme si je lui disais : "vas-y passe par le vasistas"
Mais-mais-mais faut pas que j'efface ce qui me tracasse
Comme les traces de mes mauvaises passes et de mes faux pas

Parce que je reste le Basané, celui que tout l'monde dévisage
Et on a tendance a trop m'assaisoner à des milliers de paysage
Les gens parle plus qu'il ne pense, ce qui réduit mes chances
De tenir ma satanée cadence jusqu'au moment de l'échéance

----------------------------------

Ah putain dude ça faisait lontemps!

Nice le texte! M'enfin bon, un peu déprimant. :/

Akhaspak est dans la placeeeeeuuuhhhh!!!!

Cool Mec, ca fait plaiZir de te revoir surtout pour une réouverture de ce cher topic, qui commence à croupir...

OH PUTAIN T'ES DE RETOUR.

Comment ça fait plaisir

Mais Masta et Saka eux sont pas venus depuis un siècle... :/

Faut les MP !

Ton texte j'ai eu du mal sur la surrabondance de rimes dans les verses même. Cependant, le texte lui même est super bon, pas trop recyclé.

Et surtout, le chorus, il TUE sa putain de mère la sardine tchèque.

Sans déconner, les 1000 paysages et l'échéance j'ai kiffé à mort

ah mec ça fait super plaisir d'etre de retour sur ce bon vieux forum sérieux. j'ai trainé sur un ou deux autres forum mais j'ai pas réussi à sentir autant de chaleur et d'interet qu'ici. J'essaierai de reposter un maximum, en attendant merci pour les compliments, j'espère que tout le monde va recommencer à poster sur ce bon vieux topic, et que Sakapatate et Masta Cj reviennent

Au passage, Baal, j'ai pu constater que toi aussi tu es un grand fan de ClEmEnT lE rEbElZ, celui qui écoute que de la musique eundeurgrande dans des caves et tout dans des hangars et tout ^^ (j'aime bien el coup des hangars, je vois bien les bottes de foin et tout !!)

Petit texte que je dédie à de vieux amis de lycée, un texte un peu nostalgique que j'écris en souvenir d'une époque où je me suis bien éclaté, et j'espère qu'il pourra vous aussi vous rapeller de bons moments...
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LYCEE

J'pourrais jamais, non jamais!
Oublier l'époque où avec les potes on jammait
L'histoire que vous allez entendre est vraie
Le langage contemporain a été rentrascrit
Si! Si! Il y a de ça quelques années
Entre deux cours, un groupe de pote zonnait
C'était à base de bus, trom et squatt, "qui c'est qu'a sonner?"
On s'donnait des p'tits blazes et...
ça nous démarquait
Dans les rues d'paname, on avait pas peur de s'faire remarquer
J'ai rencontré cette bande quand je croyais clamser
Ca f'sait un moment que je voyais l'ame soeur comme un hameçon
Un piège à con avec lequel je m'étais trop ramasser
J'avais besoin d'repères, de quelques compères
Mais j'imaginais pas trouver dans cette ville de parfaits paires
J'pourrais jamais oublier mes années lycée
Et cette toute nouvelle vie dans la quelle j'm'étais glissé
Et puis aussi après certaines lattes de trop mes yeux plissés
Les heures de cours où défoncé parfois je m'endormissais, mauvais français...
Quand un squatt s'annonçait, fallait s'organiser
Dans nos manteaux, les provisions s'emmagasinait
Au dernier moment j'gueulais comme un boeuf "eh rossi!
Hé poto! Est-ce que t'as dl'a beuhère aussi?"
Mais le mieux, c'est quand tous réuni, on s'initiait à la musique
Kiki au piano, Jo à la basse, moi au beatbox, c'était magique
On a tout fait, jazz, rap, blues, et slam, chaque jour c'était nouveau
On avait un peu trop d'influence pour se mettre à niveau
Et les samedi soir ou souvent 2 Ch'veaux et moi finissions dans le caniveau
Les déjeuner chez Hassan à base de 'ni cochon ni veau'
On s'est pas mal foucam, on a pris tease et came
On a bien fait notre boule, on pouvait pas rester calme
On a visité tout les bars, de Sev'Bab' à Balard
On nous appellait les Malabars du tapage de barre
Et n'oublions pas que contrairement au gars de notre cité
On était rarement dans les embrouilles de tout les excités
Au Printemps, tout va bien, on s'posait dans l'Parc et
Les pelouses et la coupole était à nous quand on débarquait
Sauf quand on avait vraiment l'temps c'était la disquette
RDV chez La Touffe, le seul noir du coin qui f'sait su Skate
J'pourrais jamais oublié tout ces bons moments passés
Même si depuis ce temps on s'est remis en place et
Si bien sûr j'ai troqué mon langage de jeune des rues
Contre le vocabulaire érudis d'un jeune auteur férues
J'oublierais pas qu'c'est là bas qu'mes racines se trouvent
J'ai appris la musique, la vie, l'amitié j'le prouve
Qui pourra un jour prétendre que bien qu'on était pas mature
C'est comme même au lycée qu'on était les plus nature
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Au fait, continuez tous d'écrire ou d'envoyer vos créations, afin de faire revivre ce magnifque topic !!
Et Mista CJ revient!! (promis je t'apellerai plus Masta Cj ^^)

Akha je t'aime.

^^ merci Baal moi aussi je t'aime beaucoup tu le sais (enfin je crois). En tout cas t'as pas changer, toujours aussi critique. C'est bien! c'est cool de se retrouver. J'espère avoir des nouvelles de tout le monde ici... bon voilà je sais que ça fait beaucoup en ce moment mais je vais poster un nouveau texte, que j'ai écris pour une amie, à propos de ses fréquentations et ses déboires amoureux. tention à prendre au second degré, et surtout les hommes le prenez pas mal, mais je suis objectif sur ma description du genre masculin ^^ voilà ça s'apelle Caroline du nom de mon amie, et sinon je voulais lui dire que je l'aime bon allez
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CAROLINE

Ca fait un bail que tu traînes ta peine, tu t'en remettras!
A chaque fois, tu te persuaderas que c'est la dernière fois.
T'inquiètes pas! Tu sais comment les hommes sont.
Y aura toujours des carpes comme toi pour venir mordre à l'hameçon...
Chérie sache qu'un homme dont les hormones dorment est hors norme
La chasse reste ouverte car la pousse des cornes est hors mode
Or ton homme, tu le veux chaste comme une énorme nonne
Mais c'est un tort, tu rendras son esprit et son corps mornes
Et si tu t'en cognes, comme de la politique de l'autruche,
Tes espoirs éclat'ront comme des ballons de baudruche
Quand il plantera son dard dans la taille de guêpe d'une autre cruche,
Sur fond de son mielleux, dans une autre ruche,
Tu auras le bourdon, embourbé dans le Bourbon
La lumière devient l'ombre; dur en amour d'avoir tout bon
Et pas la peine de pleurer comme une madeleine
La seule zone sensible des hommes en bas de l'aine
Le contraire c'est rare comme un stewart qui a le mal de l'air,
Rare comme un mariage qui jamais ne bat de l'aile
Le mal humain est livré en pâture à sa propre nature,
Sous sa ceinture, la testostérone sature.
Entre gens civilisés le monstre sommeille,
Mais il remonte, se réveille au signal de son entre-jambe
Beaucoup de femmes croient au Prince Charmant sur son blanc destrier,
Mais elles déchantent quand elles sentent son flanc sur leur blanc fessier.
Cet inconnu au beau visage te paraît plutôt génial,
Lui, envisage au minimum un rapport bucco-génital.
Le vice ne survient pas quand Eve se cambre auprés d'Adam
Il survient quand la sève démange le membre de Satan
Ca fait un bail que tu traînes ta peine, tu t'en remettras!
A chaque fois, tu te persuaderas que c'est la dernière fois.
T'inquiètes pas! Tu sais comment les hommes sont.
Y aura toujours des carpes comme toi pour venir mordre à l'hameçon...
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Baal poste quelques trucs au passage et sinon t'as pensé quoi de mon texte sur els années lycée au fait??? bon allez à ciao.

Si je te dis que je ne peux pas être objectif ?

Car d'un point de vue syntaxe y'a des petits trucs foireux, mais tu as transmis sur TOUT le texte les souvenirs et émotions identiques que j'ai eu au lycée y'a un an et demi et que ce regret mélancolique que je m'efforce d'oublier.

Rien que ça, ça fait de ce texte mon préféré, et ça me fout le bourdon.

Sinon, Caroline est pas mal, un peu vitriolé. J'ai l'impression cependant que tu l'as déja posté, je me trompe peut être.

Bon, comme Klone date de décembre, faut que je lance quelque chose, mais j'ai pas mes compos sous la main.

Quoique.

Ah si

you know that i believed forever
in our decrease, another words of anger
and i don't want to lose again
my honesty, i can't pretend
how low is your distress
it goes down, is it useless
to say to you the things i've done
even when it's not true
please don't read me
just stay away from me.

Début de compo


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(asylum)

Les yeux perdus dans la lumière
Planant hagard, sans toucher terre
La tête calée entre tes deux globes
J’ai trouvé mon apesanteur, état sans codes
Et sans limites, loin du vacarme du silence
Où rien n’existe, ni espace ni temps
Respirant ton odeur, j’ai laissé fuir mes idées
Les yeux fatigués, s’éteignent les couleurs acides
La tête calée pour reposer ma pensée
Rongée par le vide

Ton regard a depuis détruit les paysages
Et m’ensorcelle, où sont donc passé les mirages
Qui nous indiquaient le chemin à poursuivre
Disparu dans tes yeux, je n’arrive plus à suivre

La chaleur de ton corps auquel je me suis ancré
Termine de m’apaiser, sans bruit je t’écoute respirer
M’abandonnant sur les courbes magnifiques
Les traits désirés de ton corps me sont bénéfiques
Ils calment la pulsation de mes plus sombres pensées
Les mêmes qui durant tout mon voyage m’on trop souvent trompé

Plonge tes yeux dans mon âme égarée
Et lis au plus profond de moi combien je te suis dévoué
Tu m’as arraché au poison de la vie
Et pour toujours je veux rester enlacé ici
Les yeux perdus dans cette lumière tamisée
Je veux m’éteindre ici, qu’on me laisse oublier

La tête calée entre tes deux globes j’ai trouvé
Mon point d’apesanteur pour y reposer
Ma pensée, rongée par le vide

Alors je laisse tes bras furtivement m’enlacer
Soudé à toi, je ferme les yeux et me laisse porter
Les couleurs ont disparu, tu m’as emprisonné
Et je respire tes cheveux, laissant ta présence m’apaiser
Ma joue contre ton cœur, sentiments égarés
Le point d’apesanteur que j’ai trouvé
Les yeux fermés pour reposer ma pensée
Rongée par le vide

chanson écrite avec des cigarettes louches dans le crane, un vague à l'ame passque ma copine était partie en voyage, de la zik planante, un soir. Retravaillée ensuite.

ca déprime vos texte...

Tout d'abord merci Baal de tes critiques, je voulais aussi me justifier pour certaines fautes syntaxiques pour Lycée qui sont voulue saprfois afin de retranscrire ma façon de aprler de l'époque (Si si gros toi même tu sais ^^). Mais venons en à ton texte en français, parce que je dois te dire que je l'ai relu plusieurs fois, et j'aime vraiment ce texte. Je ne me rapelle pas avoir autant aimé un texte autant que celui-là dans tout ceux que t'as présenté. Est-ce l'effet des cigarettes louche? Ou une émotion ou un karma différent de ton etat d'esprit. En tout cas je voulais te dire à quel point je kiffais celui-là!!

La tête calée entre tes feux globes j’ai trouvé
Mon point d’apesanteur pour y reposer
Ma pensée, rongée par le vide

Mon passage préféré. La métaphore est tellement planante ici, que je peux pas résister à l'envie de m'allumer un bon tarpé de bambou